31 janvier 2014
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe, tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans
depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans
depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans
depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans
depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans
depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans
depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai
cinquante-quatre ans depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de
taies au crochet.
Je m'appelle Renée, j'ai
cinquante-quatre ans depuis vingt-sept ans je
suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un bel hôtel particulier avec
cour et jardin intérieurs, scindé en huit appartements de grand luxe,
tous habités, tous gigantesques. Je suis veuve,
petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en
croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Je
n'ai pas fait d'études, ai toujours été pauvre, discrète et
insignifiante. Je vis seule avec mon chat, un gros matou paresseux, qui
n'a pour particularité notable que de sentir mauvais des pattes
lorsqu'il est contrarié. Lui comme moi ne faisons guère d'efforts pour
nous intégrer à la ronde de nos semblables. Comme je suis rarement
aimable, quoique toujours polie, on ne m'aime pas mais on me tolère tout
de même parce que je corresponds si bien à ce que la croyance sociale a
aggloméré en paradigme de la concierge d'immeuble que je suis un des
multiples rouages qui font tourner la grande illusion universelle selon
laquelle la vie a un sens qui peut être aisément déchiffré. Et puisqu'il
est écrit quelque part que les concierges sont laides, vieilles et
revêches, il est aussi gravé en lettres de feu au fronton du même
firmament imbécile que les dites concierges ont des gros chats
velléitaires qui somnolent tout le jour sur des coussins recouverts de
taies au crochet.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire