vendredi 31 octobre 2014

RIMES SIMPLES

Costume posthume adhésion région pâtisserie artillerie gazinière jarretière

Elle lui avait fait un costume
En même temps que sa jarretière
Il émanait de l'artillerie
Pendant que dans sa gazinière
Cuisaient mille pâtisseries
Se doutait-elle qu'elles furent posthume?
Et bla bla bla dans not'région
Diminuèrent les adhésions.

J'ai sorti mon plus beau costume
Et même sorti l'artillerie
Pour faire une lettre posthume
A cette défunte pâtisserie,
Fruit d'experts de nos régions
Près de la gazinière
Car j'ai signé l'adhésion
En retirant sa jarretière.

J'ai signé mon adhésion
Avec ce beau costume
qui représente ma région
Et m'assure gloire posthume
Il ne s'agit pas de jarretière
Mais d'une sorte d'artillerie
Qui rappelle aux gazinières
Le goût des pâtisseries.

Il était d'une région
Où l'on drague à l'artillerie
Elle se rendait à Dézion
Pour travailler dans une pâtisserie
Lui avait un costume
Elle portait une jarretière
Il eut un petit bonheur posthume
De la lui ôter devant la gazinière.

En quittant son costume
Comme en un rêve posthume
Recueille son adhésion
Pour élire la région
Fini sa pâtisserie
Dégaine son artillerie
Et sur la gazinière
Lui ôte sa jarretière.

Force, amour, adhésion!
Ah! Mourir pour sa région!
Du héros, endosser le costume
Pour des siècles de gloire posthume.
Vainqueur d'un trait d'artillerie
Trophée, médaille, jarretière
Ce nom gravé au fond des gazinières
Pour à jamais signer une pâtisserie.

Mon costume
A titre posthume
Sans adhésion
Pour la région
Où la pâtisserie
De l'artillerie
sent la gazinière
Plus que la jarretière.

J'ai un drol'de costume
Porté à tit' posthume
C'est pas une adhésion
Au conseil de région
Ni une pièce d'artill'rie
C'est une gazinière
taillée dans une jarr'tière
J'ai que des rimes en R
Et sans en avoir l'air
Je termine ce jeu
avec un R beu-beu
Je pourrais continuer
Mais ça s'rait déconner
Il est temps d'arrêter
De fair' des rimes en é
Mêm' si je prends mon pied
J'vois bien qu'je vous fais chier.

INDICIBLE TACTILE

Au fond d'un sac opaque, des lanières de tripes.

Premier jour de pèche. Il m'a expliqué la canne, la ligne, l'hameçon, le courant, le lancer, le silence indispensable, l'attente et l'attention. J'ai humé l'air un peu humide, senti la berge molle sous mes bottes, adressé un regard ému à la couronne de feuillage au-dessus de ma tête et puis est arrivée cette injonction inoubliable : "va me chercher quelques vers dans la boîte en fer"

Splouch, splouch, splouch, je suis tombé dans une marée de mots insensés qui défilent sous mes doigts. Vainement je tente d'organiser une stratégie verbale pour me démettre de la responsabilité de décrire une sensation qui ressemble exactement à ce dont je suis en train de parler. Un ramassis de merde gluant qui n'a de sens que celui du toucher. Toucher ensuite à la plume qui s'englue dans l'imperceptible folie d'ajouter toujours plus de mots, entortillés à la description d'un vécu, que par l'impression d'un texte embourbé de contre-sens, j'espère vous donnera l'aperçu de part une traduction orale gerbant de l'encre humide, ce qui m'a tout l'air d'être impossible.

C'est la pleine lune au bord de l'étang. Nous nous déshabillons et rentrons dans l'eau malgré sa fraîcheur. Des algues nous enserrent les chevilles et le mollets, enlacés à jamais.

Un léger souffle froid entoure mes doigts, j'ose enfoncer ma main, l'air s'adoucit, s'humidifie. Le contact avec la chose, enfin. Les choses plutôt, comme autant de frites ramollies, oubliées hors du congélateur depuis deux jours. A la limite du visqueux, du ver de terre géant passé au découpe-patate en forme de frite.

L'arrière-boutique de mon grand-père charcutier était fort sombre et surtout interdite aux enfants. C'est pour cela que nous y descendîmes une fois de nuit au cours de nos vacances. Le souvenir de nos avant-bras plongés dans les terrines de rillettes dégoulinant de graisse, triturant des saucisses coupées, fouillant le navet salé, pataugeant dans la tripaille encore fumante nous est resté gravé à jamais. C'est pour cela peut-être que je suis devenu végétarien!

Il faut le manger? Impossible! Le lécher? Pas plus! J'ai demandé à mes doigts ce qu'ils en pensent.
Le pouce : "C'est insaisissable ce truc-là, même avec mon copain index."
L'index : "Si c'était pas si froid, je pourrais croire que c'est ce que je trouve dans un nez, en plus gros bien sûr."
Le majeur : "J'aurais juste l'honneur de lui faire un doigt."
L'annulaire : "Bague à part, vous voulez que je donne un avis là-dessus?"
Donc mes dogts..
"Ben.. et moi?
_Toi, l'auriculaire, t'as même pas touché!
_Juste un mot : beurk!"

Comment dire, c'est...
Ca me fait penser à...
Beurk, je plains les aveugles!

Sous ma langue, ses lèvres éclosent. L'orchidée de chair, turgescente, se tend lentement vers un horizon éruptif. Son suc me coule entre les lèvres, inépuisable, insatiable.
Une graine de coriandre illuminant soudain mon palais me ramène à mon assiette.

Quelque chose entre la tripe coupée en lamelles et la couenne de jambon, en tout cas Clitoris (la chatte qui se frotte à nos jambes) semble apprécier. Ni dégoûtant, ni ragoûtant, des lanières qui n'attendent que l'imagination d'un maître-queux pour leur donner un nom. Et si ça n'était que de gros élastiques enduits de ricotta?

ABECEDAIRE

Alex braille car Daniel effleure facilement, gracieusement, heureusement, imprévisiblement, joyeusement Katia, la mie nouvelle obsédée par quelques rituels sexuels tous urgents (voir wanadoo XYZob).

A Brie-Comte-Duchmol, en France (Garonne), hier il jouait "Koala le Magnifique", non oscarisé, parce que Robert souhaitait tant un vrai wagon xylophage, youpla zou!

Attention, bien casser des écrevisses fait grandir hexagonalement Irène justement kangourou lourdaud menaçant négligemment Oscar peut questionner régulièrement ses trichomes, utile vraiment, western xylophonique, yaourt zébré.

Après B, c'est D. Evidemment. Facile! G hier imaginé juponner kiwis longuement macérés, nullement ostracisés par quelques restes savoureusement tombés un (à un) vertigineusement vallonnés xylophagés, yeutés zoophilisés.

Arrivons bien. Cassées, défaits, entiers. Faisant grand hospice, itinérance jovine kilométrique, libérés mais non obscurcis. Prenant quelques repas sereins terminant (h)urluberlus vertueux Wolfgang, Xénon, Yves, Zoé.

Alors Bernard croyait d'abord en Fatma; général héros, il jouissait kamasoutra. La montagne noire opérait pour qu'il raconte sous tout univers vénérable wistle, xylophone, yole : zen.

Ah bon, comme des enfants fous, genre humains irradiés, jouent kamasoutra, les mieux nantis oublient parfois que rêves, souvenirs, tendent uniquement vers Walter, Yvette. Zut.

Ariane, bien connue des Égyptiens, fait grande habitude intergalactique jusqu'à Kusouraï, laissant malgré nous obstruction, paralysie, quelques ratés sous terre, un ver xylophage, yunipige, zélateur.

Ah, ben c'est dit! Elle figurera gagnante hors illustration jupe/kilt. La meilleure note où pour quatre roubles sont troqués un vieux wagon, x yen zéro.

NECRO

Elle est venue
Elle a vécu
La mort a vaincu
Comme d'habitude.

Et ses cendres s'envolent aussi légères qu'elle aurait aimé être.

Il nous a quitté brusquement, laissant en nos cœurs une multitude de trous. Bien à toi.
Les salariés de la fromagerie de gruyère Marcel.

Elle était toujours en retard
Mais elle fut à l'heure pour ce dernier rendez-vous.

98 ans
Plus de dents
Plus de jambes
Plus d'yeux
Ni même d'oreilles
...
Il était temps!

A mon arrière-arrière grand-mère qui m'a tout appris.

Il rêvait tranquille jusqu'à ce qu'un Vian, mort depuis longtemps, le précipite au fond (de la vallée).

Il s'en est allé, après avoir paru, comme un courant d'air frais, sans même faire un salut, assuré de revenir, à l’ouïe du chant des oiseaux qui aspirent par leurs becs le printemps.

Il aimait à se perdre et à force de se dévoyer, il a trouvé ce que l'accumulation des jours lui avait épargné. Arrêt du cœur ou charge de sanglier, peu importe car il a enfin rencontré le jour ultime, celui qui subsume tous les autres. Dans l'amour de ce qui est, il a cessé d'être. Une place est libre dans un monde immense et radieux.

ALIBI

Hier? Jeudi 30 octobre? La veille d'Halloween donc, de 2014, c'est bien ça?
Et bien il se trouve que justement je me trouvais sans doute aux chiottes. Cela peut vous paraître cru ou pas très fin mais c'est ainsi. Non, mais non, dans les chiottes on ne fait pas forcément ce que vous pensez!
Moi, en l'occurrence, je rangeais mes caisses de vin, je les alignais, je les collais, je les marouflais. Vous ne me croyez pas? Et bien allez-y, allez voir.

Comme d'hab... de corvée de courses et une heure n'a pas suffit! Ma fille vous le confirmera.

J'étais bien entre 14H05 et 15H12 aux champignons! Parlez-en aux girolles grises, elles vous confirmeront! Entre 14H et 14H05, joker!

Hier, j'ai pris ma tronçonneuse avant de monter dans le wagon du train imaginaire qui m'emmenait alors dans un pays merveilleux qui a cette particularité étrange de me faire oublier ce que j'y fais. J'imagine que la tronçonneuse était dans mon nez puisqu'à cet instant précis mon corps était totalement dissocié ce qui me permettait de sonder la profondeur du moment où je me trouvais allongé dans une douceur infinie... Etait justement dans cet état précis.

Je pique-niquais au rocher d'Ormont, près de Provenchères avec deux amies. A part un petit pipi derrière un sapin qui a duré une minute vingt (et oui la prostate!) je ne les ai pas quittées. Elles peuvent témoigner.

Comme chaque jeudi à 14H j'avais rendez-vous avec Véronique. 78 ans. Alzheimer. Vous pouvez vérifier.

Les pieds. Je m'en souviens parfaitement. J'ai fait les pieds. Compliqué, il a fallu passer sous la tôle froissée sans se déchirer les mains.

Je cherchais une place de parking.
Et alors? Une heure pour trouver une place?
Ben oui et alors? Vous voulez que je trouve tous les témoins hilares aux fenêtres?

13H55, j'entre chez mon boulanger pour commander le gâteau d'anniversaire de mon chéri, né un 31 octobre. Le pâtissier me demande de choisir parmi tous les modèles d'os en pâte d'amande; aucun ne me plaît. Il me propose d'aller à l'arrière de la boutique, où il pourra me proposer un choix plus large, et là, panne de courant, je trébuche, un paquet de 50 kilos de farine me tombe sur la tête, suivi d'un autre, encore un autre... Je suis restée sous une montagne de farine, jusqu'à 15H30, heure à laquelle les pompiers réussirent à me dégager.

OBJET INTIME (mauvais souvenir)

Un trousseau de clés
C'est fou ce qui peut vous arriver! J'étais alors au service militaire, j'étais chauffeur de tank, un XB748 armé avec une tourelle de 80 sans recul et deux escarmouchettes de 32 mm. Un bijou! Ce soir-là, un 31 octobre, soirée d'Halloween, je gare mon char en face de chez ma copine! Je vais ramasser les bonbons d'usage et au moment de repartir, plus de clés de contact! Ca a failli mal tourner, ma copine habitait l'ambassade du Qatar. Un char français arme pointé sur l'ambassade pendant deux jours! Quelle histoire!

Un livre
La veille, j'avais lu dans le journal qu'il faisait une dédicace à la librairie Renaud Bray sur St laurent. Je venais de lire son dernier opus traduit en irakien par un ami. J'avais été si touchée, je voulais le lui dire. A l'heure dite j'étais là devant lui. Toute la nuit (je dors peu) j'avais imaginé tout ce que je lui dirai, ses romans, ses poèmes, mon ami. Tahar Ben Jelloun leva les yeux sur moi. Je tendis mon livre à dédicacer et rien. Pas un mot, à peine merci. Un dixième de seconde plus tard j'étais sortie de la librairie. Frustrée, déçue, honteuse, un grand regret.

Un gloss
Elle aurait pu avoir des lèvres fraîches, nature, où je n'aurais senti que le goût de sa bouche, la saveur de sa salive, la douceur de sa langue. Eh bien non! Elle avait mis un truc infâme à l'odeur douteuse et en plus ça collait. Ça, pour être brillantes, ses lèvres étaient brillantes. C'était d'ailleurs tout ce qu'elle avait de brillant.

Un chargeur de téléphone
"Wico! Je vous dis Wico, c'est quand même pas compliqué!"Cela faisait une bonne demi-heure que j'essayais de faire comprendre au vendeur apparemment fraîchement embauché dans cette foutue boîte de matériel soi-disant high-tech, que je voulais cette marque et pas une autre pour l'adaptateur qui me servirait à recharger mon nouveau sex-toy, indispensable en cas de crise. Cependant, à bien y regarder, il pouvait peut-être faire l'affaire, bête mais plutôt mignon! C'est alors que, mu par un soudain éclair, il se retourne, tend le bras, attrape un objet et me donne ce que je lui demandais désespérément :  le chargeur. Et voilà; tout à coup mon nouveau sex-toy me paraissait bien fade à côté de ce petit jeune aux beaux yeux!

Une carte d'accès à la déchetterie
C'est complètement stupide et cela n'a aucun sens, évidemment dès qu'ils peuvent nous taxer ou mieux nous parquer ils n'hésitent pas. J'avais entendu dire que ça arriverait, et je le constate aujourd'hui, le cauchemar est devenu réalité, ce rêve à propos d'un monde où même pour donner il faudrait payer.

Un ticket de tram
Valable pour un aller-retour
Non, non, non
Je ne veux pas
Surtout pas de retour

Un bloc de post-it
Astucieux ce post-it en forme de flèche... Comme le Petit Poucet je les ai semés sur mon chemin pour que mon amoureux puisse me rejoindre. Mais ils se sont envolés...

Un briquet
Quinze heures que je marche. La nuit est tombée, je me suis perdue. La température chute. Il me faut trouver un abri. Me réchauffer. sans quoi...
Je pourrais toujours essayer de faire du feu. Mais oui, un bon feu. Je ramasse fébrilement des branchages, sort mon briquet. Dans quelques minutes je pourrai me délasser un peu et retrouver la sensation de mes orteils gelés.
Je sors mon briquet... Une, deux, dix tentatives. Il est vide!

Une clé de voiture
J'habitait le centre-ville à Marseille. A côté de la Canebière, c'est vous dire! Il faut savoir que là-bas les poubelles se sortent à tout heure du jour ou de la nuit, quand elles ne se jettent pas tout bonnement par la fenêtre. Si j'avais été moins policé, ça ne me serait pas arrivé mais bon, bêtement ce soir-là, pour une fois, je les ai sorties parce que de toute façon je devais garer la voiture à une place sans parcmètre pour le lendemain. Le centre-ville c'est bon que pour les piétons. Bref, j'ai sorti la poubelle avec ma pochette noire en main. Enfin non, plutôt posée sur le sac poubelle noir. C'est devant la voiture que j'ai cherché mes clés. C'est là aussi que je me suis souvenu qu'elles étaient dans la pochette et que la pochette était sur le sac poubelle, sur le trottoir devant chez moi.
Aujourd'hui, elles doivent être sous des tonnes de détritus, avec chéquier et papiers, au dépotoir d'Entressen.

TAUTOGRAMME

Le maçon prend une bière dans la bassine où elle prenait le frais. Il avait travaillé avec beaucoup de ciments mais les ciments Balbu, c'était pas son truc. Évidemment son copain toujours bravache, celui qui fait le bitume, allait se foutre de lui. Mériterait des coups de bâton celui-là, en plus avec ses bidules aux oreilles et sa femme accrochée à ses deux biberons, elle allait se marrer. Non, les Balbu ciments, c'est pas pour lui.

Ma bière coule sur le bitume, j'aurais du la mettre dans un biberon, cette bassine c'est vraiment pas pratique si encore j'avais pas ce foutu bâton dans la main et ce bidule dans l'autre! Alors d'un air bravache dans un dernier balbutiement je clame à qui veut l'entendre: "Un biberon s'il vous plaît!"

Premiers balbutiements:
Comment s'appelle ce bidule?
Un biberon.
Un quoi?
Un biberon
Ah ce truc qui chauffe dans la bassine?
Tu as remué le lait avec le bâton?
Le lait c'est pas du lait, c'est de la bière!
Ah, espèce de bravache, fais gaffe de ne pas le renverser sur le bitume.

Sur le bitume, bravache, je bafouille après les bières que je bois comme au bidule, non, comme au biberon et je bassine les passants en tapant du bâton.

Recette à la bière:
_ Mettre le bitume dans une bassine
_ Incorporer une biberon de bidule battant
_Laisser blanchir, bouillir, barboter
_Remettre en biberon et servir
_Accepter balbutiements bizarres
_Faire comme si c'était bon, bravache comme vous êtes.

Les balbutiements de bébé qui butine son biberon comme l'homme qui boit sa bière, fier de ne plus biberon-né, bravache d'avoir de bidules, dulcinée qui le bassine désormais le mène au bâton sous des murs de béton au-dessus du bitume.

Boire la bière au biberon (c'est bravache quoique plus bratique qu'à la bassine) peut entraîner de bizarres balbutiements avant de moudre le bitume. Quant au bâton...

Je prenais une bière à la terrasse de mon café préféré "Aux coups de bâton" sans doute pour faire référence aux coups de bambou assénés à chaque venue, quand je vis une classe biberon jouant sur le bitume avec des trucs aussi bizarres qu'une bassine, des spatules des biberons s'adonnant aux balbutiements de la marcheje me levai et les rangeai d'un air bravache.

De la bière dans un bidule, un comment déjà? Oui un biberon. Non mais pourquoi pas dans une bassine? Ah oui dans une bassine posée sur le bitume on pourrait la touiller d'un air bravache avec un bâton. Mais non, dans un balbutiement ils ont choisi un biberon.

TEXTE HASARD

Do, ré, mi, fa, la, si
Et pa(s).....?
Pa(s) de....
Ah!

Et il me va ce dé. Ah si, si, si, si!

Tu as bu de l'o de ri(z) ma mi(e) l'a vu.

Oh tu as un bo cu ma mi tu sé.

Le do di dé ne vi là où vi le si.

Si tu as vu le do de ta mi(e) ça va.

Ha, ha, ha, hi, hi, hi, hé, hé, hé, ho, ho!

Do do do ré mi ré do mi ré ré do (au clair de la lune)

Tu as un do là où tu as vu un ut.

ACROSTICHE D'HALLOWEEN

Héloïse
A
Loupé
Les Ouistitis
Wapitis
Eléphants
Et
Narvals.

Halte
Aux
Luliputiennes
Lusophones
Oligarques
Why
En Amérique
Elles
Nuisent aux géantes espagnoles

Halloweeen
Ah! Ah! Ah!
L'alloween que v'là
L'allo y quelqu'un?
Oh, oh! Y a personne?
What is this question?
Et bien dis donc
Espère toujours
Ne pas oublier les bonbons.

Hongroise
Aujourd'hui
Largement
Longitudinale
Ose passer ses
Week-ends
En
Energie
Natatoire.

Hé, là-bas!
A qui tu parles?
Le masque, où l'as tu acheté?
Lequel?
Ote voir le tien
Woilà...
Euh, non remets-le ça te va mieux
Excite-toi un peu ils t'attendent
Normal!

Hier
Avant
La
Lune pleine
Ouvrîmes
Waouh!
Encore
Etonnés
Nos esgourdes.

Hoquet vaniteux qui m'entraîne à devenir un
Aspirateur magnifique qui après avoir franchi le mont
LSD se targuait d'avoir fait toutes ses
Lessives attentionnées quant à la la joie de ses
Orifices il expliqua qu'il nécessite un
Wagon afin de s'en aller traire un
Echelon de la pyramide de l'
Esprit qui dormait encore dans le salon où trônait un sapin de
Noël.

Hier sous la couette
Avec mon amoureux
Lui pétait gaiement
Lui pétait bruyamment
On était bien pourtant
Whaouh!
Et je l'aime néanmoins
Et que je crois qu'il m'aime
Nous on est au-dessus de ça!